C'est Antoine qui chante dans le port d'Amsterdam en me tendant la main pour me rassurer parce qu'il fait noir et qu'on ne vois pas ou on va, c'est ce champ immense qui mène au bout du monde et la voie lactée qui s'offre à nous, ces étoiles filantes qui aujourd'hui me déçoivent mais qui restent majestueuses, c'est aussi ces deux types de Dijon qui me demande de rouler et qui nous offre à boire, et évidemment c'est Quamelo et toute la bande qui s'éventre en s'embrassant, mais aussi cette odeur et ce ciel et cette nuit et